Portrait éditorial de Mauricio Clavero Kozlowski
© 2021, Serge Bouvet
Portrait photo de Mauricio Clavero KOZLOWSKI
Mauricio Clavero Kozlowski ou la touche stylée et dorée qui fait la différence
Si Paris héberge de nombreuses maisons de joaillerie bien installée, la capitale de la mode et du luxe voit également naître une nouvelle vague de créateur unique comme Mauricio Clavero Kozlowski.
Ce n’est pas la première fois que j’ai privilège de faire des portraits éditoriaux pour Mauricio. Nous avons, en effet, eu l’occasion de travailler ensemble sur ses projets artistiques lorsqu’il officiait comme directeur artistique chez Daum, Haviland puis Odiot.
En 2019, il se lançait finalement dans une nouvelle aventure créative dans le domaine de la joaillerie, donnant vie à une superbe collection avant-gardiste de bijoux de sa marque éponyme Sorux Paris.
Pourquoi les portraits photos devaient être un écho à la quête de pureté et du détail ?
© 2021, Serge Bouvet
Le créateur franco-chilien a fait le choix de créer des bijoux qui valorise les individus en s’exemptant des genres. Ses collections de colliers, de bague ou de boucles d’oreilles peuvent donc autant être portées par tous.
Outre cela, ses bijoux ont été conçus en ayant en point de mire la « pureté » et le « détail ». Par conséquent, il fallait donc que je respecte ses thèmes pour représenter le créateur et l’ambassadeur de la marque.
Portraits éditoriaux dans un studio de création de Montparnasse
Paris, 23 juillet 2021, 13h00. Le rendez-vous pour le shooting fut pris dans un studio de création du quartier de Montparnasse.
Le bâtiment offrait plusieurs avantages : lumières et blancheur lactescente. Deux sources d’éclairage et un réflecteur face argentée ont été nécessaires pour la première photographie. Pour le second portrait, la lumière naturelle et le réflecteur auront suffi.
La séance de photo aura duré 30 minutes. Les portraits éditoriaux appuieront bientôt sa campagne marketing : communication de presse, illustration d’article presse papier et online.
Si le premier portrait éditorial respectait le cahier des charges, le second s’en écartait allègrement. Il y avait une fresque circulaire qui avait attiré mon attention. C’est après avoir rangé tout le matériel que je lui proposais de faire un dernier portrait photo.